Le seul, l'unique Zapdos !

Cassandre venait d’arriver dans la ville dite « Pokemon ». A cette époque elle n’était encore qu’une jeune fougueuse, apprécient les dresseurs légendaires et leurs pokemons absolument craquant pour la plus part. Elle avait entendus parler d’un Sacha avec son Pikatchu et rêvait de devenir un jour comme lui : vous savez bien ces rêves que l’on à et qui ne se réalise jamais… enfin c’est ce qu’elle croyait…

Ayant tant envies de découvrir ces petites bêtes qui la fascinait, elle avait appelé, quelques jours plutôt, prétextant rédiger un article pour son lycée, dans l’espoir de rencontrer le professeur et en apprendre plus sur son obstination. Le jour était enfin venue pour elle de le rencontrer.

Elle marcha longtemps en direction de la petite maison où elle s’arrêta net devant la porte d’entrer. Cette maison était biscornue et les immenses bâtiments alentour l’étouffait et la rendait plus tassée encore qu’elle n’était. Des plantes couraient sur ton son long et le jardin n’était pas très soigné. Lorsqu’elle frappa enfin à la porte, on lui beugla d’entrer. Mais à sa grande surprise, elle n’y trouva personne. Elle voulut finalement attendre dehors mais ça curiosité reprit le dessus. Elle entra et referma la porte derrière elle. Cassandre ouvrit de grands yeux ronds. L’endroit était étrange : des éprouvettes, des microscopes et toute sorte de pokeball était posés sur des tables en plastique fondu.

Elle s’approcha de l’une d’elle ne la touchant que avec les yeux ! Elle était belle, elle brillait même. Quelques seconds plus tard, après qu’elle est pu « explorer » tout dans le laboratoire du professeur, elle entendit du bruit à sa gauche. Elle se retourna précipitamment, avec une mine d’horreur. Si le professeur la voyait ainsi, il penserait sûrement qu’elle est une odieuse petite fouineuse et ça Cassandre ne pouvait le supporter. Les gens la trouvaient d’habitude agréable, pleine de vie et débordante d’humour. Elle se cacha alors sous une table, se recroquevillant le plus possible. Des portes s’ouvrir alors dans un bruit de cliquetis puis de la fumer en sorties produisant un tel « PFFFFFFFFF » souffle que cela étonne la jeune fille que ça ne dérange pas le vieux monsieur. En effet, toujours personne n’était là, personne n’accourait et personne ne bougeait. Elle attendit un long moment avant de se relever, à peu prêt rassurée. La jeune fille se frotta le pantalon et regarda plus attentivement se que renfermait les portes. La fumée s’était dissipée et l’on pouvait voir une dizaine de pokeballs toutes alignée. L’air était alors très frais. Cassi’ s’avança alors plus près des petites balles. Une l’attirait tout particulièrement : elle était subjuguée par sa beauté qui n’était pourtant pas si différente des autres. Comme un aiment, elle l’attrapa alors. Sur le moment elle n’était pas en parfaite harmonie avec elle-même et ne mesurait pas la « gravité » de ces gestes.
Appuyant, presque sans le faire expert, sur le bouton d’ouverture de la pok’, elle fut éblouie par un jet de lumière d’un jaune si violant qu’elle tomba à terre, la pokeball avec. Un grand « oiseau » fait d’électricité et de chair, mesurant à peu prêt 1m2 se tenait devant elle. Elle ne pouvait plus bouger, s’était comme si elle était apprivoisée par cet animal incroyable. Celui-ci poussait alors des petits cris sournois tel des « zapdos, zap, zap, zapdos ! ». Il avait une voix éraillée mais tout de même avec un joli timbre mi-aigu, mi-grave.

Le grand oiseau s’approcha alors d’elle, comme si il espérait un câlin. On pouvait voir de la malice et beaucoup de tendresse dans ses yeux, c’est pour cette raison que Sisi crut cela… Enfin c’était avant qu’elle ne vit ces ailles s’ouvrir de toutes leurs longueur et envoyer des éclair dans la pièce par parcimonie. Elle fut alors effrayée et cria, CRIA, CRIAAAAA de manière suraigu (comme Bou dans « monstre & co » lorsqu’elle pleure!) :

« AAAAAAAAAH !!! »
Le professeur entra alors. Tout ce passa extrêmement vite : il attrapa la pokeball, prononça une phrase que Cassandre ne comprit pas où plutôt n’entendit à cause des sons façon « ZzZZz ZzZzz ! » qui couraient dans toute la pièces.

Une fois le « carnage » terminer, le pokemon rentré dans sa pokeball. Le professeur lui sourit, à sa grande surprise. Une lueur dans les yeux du « grand père » luisait comme la plus heureuse des découvertes.

« Relevez vous mademoiselle ! »

Oui, Cassandre était toujours allongé par terre, les coudes, qu’elle avait un peu plutôt devant les yeux, protégeant sa tête, étant à présent sur le sol. Alors, la jeune fille s’exécuta n’étant pas sur de tout comprendre. Une fois debout, le professeur plaça dans ces mains la pokeball brûlante. Elle fit alors une moue incertaine, que voulait il par dieux ! ? Que je m’occupe de ce pokemon peut être ? En cet instant tout parut clair à la jeune fille : Bien sûr, ce pokemon lui parsemait dorénavant !!!!! Elle entrouvrit la bouche bêtement, ne sachant quoi dire, que faire !

«- Il est à présent à toi ! Prends en soin surtout. Il se nomme Zapdos, c’est un « pokemon légendaire », il est donc très rare, même unique… Je l’avais capturé lors de mon voyage en Egypte, de là il n’avait plus voulu ressortir de son « œuf » ce petit rigolo… C’est un extrême privilège d’être choisit par Zapdos, j’espère que tu en à conscience ?

- Oui. Mais vous voulez dire qu’il ne voulait pas m’attaquer tout à l’heure ?

- Non. Il était juste joyeux ! »

Sur ceux, elle eut un soulagement. Savoir que l’on avait été choisit par un des plus grand pokemon qu’il existe alors sur terre la terrifiait et lui donnait une impression de supériorité accablante. Elle sourit timidement, tout en regardant son « bébé » enfermé dans sa coquille d’argent. Enfin elle soupira : Indécise d’accepter ce cadeau merveilleux dont elle avait eut peur au paravent, ses yeux s’emplirent de larmes :

« Allons, allons ma petite, ne soit pas si émue… Maintenant file, ton destin t’attends ! »

Le professeur essaya de la consoler et lui ordonna de filler en vitesse. Il plaça dans ses mains, un guide des pokemons, un légendex, des cartes pour trouver les endroits où participer à des combats et où rencontrer d’autres dresseurs… Il la poussa alors légèrement vers la porte. Une fois qu’elle fut dehors, il entrouvrit celle-ci et annonça :

« Encore une dernière chose, pour renvoyer le pokemon dans sa pokeball il faut lui dire : « Zapdos reviens ! » en la pointant vers lui. Compris ? »

Elle fit oui de la tête et, sur ceux, il referma la porte au nez de la jeune fille. Ce professeur était un bien étrange personnage pensa-t-elle alors.

Au fond d’elle-même elle avait toujours su qu’elle était née pour accomplir de grandes choses et maintenant elle était certaine… Certaine de vouloir accomplir cette tâche : C’était inscrit dans sa ligne de vie après tout !